Toutes les explications techniques professionnelles n’ont pas vocation à être étalées sur la place publique.
Je n’ai pas, de même, vocation à aider Espagnols, Australiens et autres étrangers chez qui toute la profession et filière en amont et en aval, soit disant défenderesse de la France, court pour s’y approvisionner me montrant, chaque année passant, à quel point mon métier de courtier francais est d’une obsolescence programmée.
Je dois contribuer avec les producteurs francais à protéger notre production qualitative et faire que le bouche à oreille fonctionne intelligemment. Et certainement pas en divulguant ce qui de toute manière va l’être un jour permettant ainsi de produire, dans d’autres pays possédant beaucoup de terrains vierges une “Truffe du Périgord” bien peu Francaise à des prix tellement bas que le ragoût de truffes reviendra à la mode.
Si tout ce qui a été écrit ou réalisé depuis 30-40 années était la vraie vérité, les volumes de production seraient importants et le prix inférieur; peut-être comme avant, en dessous de celui du foie gras.